L’équilibre entre IA & expertise humaine dans le Marketing

🤓 Alors quoi, l’IA, Serge Dielens (CxO d’Edge Communication) ?
“Pour ce qui est de l’Intelligence, l’Humain doit garder la place centrale.
Pour ce qui est de l’Humain, l’Humour (le clown en lui) doit garder une place centrale aussi.”

L’IA et la Réputation : une collaboration enrichissante dans le cirque de la Communication

Bienvenue sous le chapiteau où l’intelligence artificielle danse avec le marketing, transformant l’évaluation de la réputation et l’analyse du sentiment en un spectacle de cirque captivant.

L’IA, jongleur habile des données, offre des horizons inexplorés, mais dans cette performance numérique, le clown humain conserve son rôle crucial. Il est à la fois le maître de cérémonie, façonnant la profondeur et l’émotion nécessaires pour donner un sens authentique aux données, et le jongleur agile, manipulant habilement le message qu’il souhaite transmettre.

L’épicentre de l’émotion

L’image, perle précieuse du communicant-clown, prend place au cœur de ce numéro. Elle n’est pas simplement une visibilité frénétique, mais l’écho qualitatif de la notoriété. Dans ce grand numéro de la communication, choisir entre le tumulte médiatique et une visibilité plus restreinte mais riche en qualité devient un art. Le communicant-clown, tel un jongleur virtuose, sculpte et valorise la réputation, ce capital immatériel qui influence plus d’un quart de la valeur d’une marque, selon le Forum économique mondial.

Une odyssée sentimentale sous le grand chapiteau

Au cœur du métier, le communicant-clown spécialisé en relations publiques ou en digital s’appuie sur un indicateur phare : le sentiment. C’est la mesure de la capacité d’une marque à susciter une médiatisation positive, un mélange subtil de presse et de réseaux sociaux. Ce sentiment, façonné par des scores de sentiment ou de tonalité, tisse la toile nuancée des perceptions, oscillant entre les louanges dithyrambiques et les critiques pointues, tout comme les réactions variées du public devant un spectacle de cirque.

Les émotions en ébullition sous le chapiteau numérique

Ces concepts, familiers à beaucoup, sont souvent présents dans l’arsenal des communicants. Cependant, l’orchestration de cette mesure devient un véritable numéro de clown, chacun maniant l’indicateur à sa manière, parfois avec une norme, parfois sans. La réalité dévoile des pratiques variées, laissant la norme dans un flou artistique. Chacun jongle avec la data, et les différences se résorbent davantage dans le traitement que dans la collecte des informations.

Le défi de l’évaluation sous le grand dôme du cirque numérique

L’évaluation de l’image et de la réputation, un défi qui transcende le temps et l’argent, impose ses règles. Les entreprises, s’appuyant sur des bases technologiques communes, jonglent entre revues de presse minimales et écoutes actives des conversations en ligne. Les écoles de pensée se forment, chacune avec sa partition unique, dansant au rythme des évolutions digitales et des transformations du métier de communicant-clown.

Les écoles du jugement sous la tente numérique

Devant ce défi, 5 écoles de pensée émergent, chacune définissant son rapport à l’intelligence artificielle.

Des technophiles fidèles aux détachés sceptiques, toutes apportent leur contribution unique à l’harmonie complexe du spectacle de la mesure.

• Les technophiles fidèles jonglent avec l’intelligence artificielle, cherchant la tendance plutôt qu’un score précis.
• Les pragmatiques génératives, tel un clown qui perfectionne son numéro, combinent l’humain et la machine pour une précision croissante.
• Les analystes traditionnels, préférant le manuel au numérique, plongent dans une lecture approfondie du corpus, ajoutant une touche artisanale à leur performance.
• Les stratèges hybrides : ils jouent sur les 2 tableaux en mêlant analyse humaine et analyse automatisée via ces outils de press clipping et de web listening. Ils exploitent les données automatisées pour avoir les grandes tendances et apportent une analyse humaine avancée et précise sur un échantillon de contenus jugés stratégiques. Temps et coûts additionnels certes, mais le reporting sert à la fois les RP, le digital et a le potentiel de sensibiliser les équipes marketing aux enjeux de réputation.
• en marge, les détachés sceptiques préfèrent une approche plus libre (comme celle des clowns). Ils lisent les contenus pêle-mêle, maîtrisent les enjeux sans trop d’investissement dans des outils sophistiqués => une danse singulière, mais si celle-ci (du clown) fonctionne, pourquoi pas ?

Place au clown dans l’univers numérique de l’IA

La question cruciale de la place du clown communicant dans cet écosystème trépidant de l’intelligence artificielle se profile. Sans tomber dans l’excès d’optimisme ou de pessimisme, le clown reste au centre aujourd’hui, apportant de la profondeur aux données et maîtrisant à la fois la transmission du message et l’émotion suscitée auprès de sa cible.

La tonalité : une affaire d’interprétation sous le chapiteau numérique

La qualification de la tonalité reste une prouesse humaine, difficilement automatisable. Contexte, intention de l’auteur, crédibilité, tout dépend de l’interprétation clownesque. Un risque plane, celui de l’automatisation excessive, où le clown devient serviteur de l’IA plutôt que son maître, générant une spirale où l’analyse superficielle prédomine.

Un enjeu universel pour les communicants-clowns

La valorisation de la communication réside dans une alchimie entre données et analyse clownesque approfondie. L’indicateur de tonalité/sentiment cristallise cet enjeu. Les communicants-clowns le savent, mais la mise en place de solutions adaptées reste un terrain inexploré, souvent par des contraintes budgétaires. Cependant, la mesure n’est pas un coût, mais un investissement.

Ce qui ne s’évalue pas finit par être dévalué. Alors, chers communicants-clowns, levez-vous et prenez la mesure de votre valeur, car dans ce grand spectacle, vous êtes les clowns qui illuminent la scène du cirque de la communication numérique.

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🤓   SERGE DIELENS & EDGE COMMUNICATION :

“Avec 40 ans d’expérience en communication marketing, je suis consultant en gestion de réputation, aidant les indépendants à rendre leurs projets plus crédibles et visibles, et à améliorer leur notoriété, notamment via les médias sociaux. En 1986, j’ai géré une crise réputationnelle en dirigeant Sport Aid. En 1990, j’ai fondé Edge Communication, travaillant avec une équipe de 8 personnes pour des clients prestigieux comme Levi’s, MTV Networks, Toyota, AXE, Lipton Ice Tea et Labos Besins International. Initialement spécialisés en relations presse et publiques, nous avons innové avec des actions média stratégiques et les premiers contenus générés par les utilisateurs (UCG). Depuis 2007, je me concentre sur les médias sociaux et les nouvelles technologies.

Edge Communication a récemment enrichi ses compétences avec Belen Ucros (Content Manager) et deux jeunes stratèges diplômés de l’UCLouvain, Sam Bortolato et Denis Molitor. Nous offrons des stratégies sur mesure et un accompagnement pratique, privilégiant la qualité de notre portefeuille clients. Notre satisfaction réside dans l’aide aux artisans et professionnels dont la communication n’est pas le métier, en augmentant leur notoriété et leur chiffre d’affaires.”

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