Liberté *** 50 ans après mai 68, où en est-on? (made in BELGIUM)

 Publié en MAI 2018 *** Notre livre 50 nuances de liberté (made in BELGIUM)

De mai 68 à mai 2018,

notre liberté individuelle s’est-elle pris un vent ?

50 ans après la Révolution, à l’heure où le Règlement Général pour la Protection des Données personnelles (RGPD) est supposé protéger les citoyens européens, où en est notre vie privée ?

Sommes-nous plus ou moins libre qu’il y a un demi-siècle ?

En 2018, est-il interdit d’interdire… la désobéissance?

*** A l’occasion de la commémoration des 50 ans de mai 68 (qui n’est qu’un simple prétexte), cet ouvrage collectif et éclectique composé de textes d’une cinquantaine de personnalités, nées avant, pendant ou après mai 68, se présente comme une constellation de pistes de réflexion, coups de gueule et histoires vécues.Avec Mai 68 comme prétexte #vieprivee #liberté #RGPD #mai2018 #ereputation #contestation #desobeissance #ethique #engagement #branding

*** Sociologue, macro-économiste, enseignant, psychologue, data scientist, trendwatcher, hippie devenue journaliste mode, hippie resté hippie, poète, philosophe, romancière, théoricienne, artiste, architecte, musicienne, psychanalyste, spécialiste du web, politologue, journaliste, sportif, noctambule, directeur de télévision, avocate youtubeuse, bloggeur, critique gastronomique, polémiste, directeur médical, psychiatre, manager artistique, consultant en créativité, oenologue, aventurier de l’extrême, médiateur interculturel, professeur d’université et quidams, tous ont accepté de se livrer.

Car sur la vie privée et la liberté, tout le monde a son mot à dire ou à écrire

Ouvrage collectif sous la direction de Serge Dielens (créateur du projet collaboratif et interactif), avec l’aide précieuse de Belen Ucros et Jacques Folon

*** Ont participé à cet ouvrage: Jacques Borlée, Eric Boschman, Julien Carbonez, Jean-Pierre Coene, Bruno Colmant, Geneviève Damas, Dixie Dansercoer, Nicolas Deckmine, Sophie Del Duca, Eric de Staercke, Claude Delacroix, Serge Dielens, Béa Ercolini, Jacques Folon, Jean-Louis Genard, Elsa Godart, Noël Godin, Thoralf Gutierrez, Patrick Haumont, Philippe Housiaux, Véronique Lamquin, Géry Leloutre, Katia Mahieu, Marie-Paule Meert, Jean-Pierre Mels, Christophe Ménier, Gilles Millecan, Ninette Murk, Caroline Pauwels, Milena Petitjean, Paul Piette, Gilles Pudlowski, Mark Raison, Jean-François Raskin, Jean-Louis Sbille, Marcel Sel, Belen Ucros, Jacques van Rillaer, Alexiane Wyns. Avec, en plus, des morceaux de Jean-Paul Sartre, Victor Hugo, Etienne de la Boétie, Montaigne, Noami Klein, Amid Faljaoui, Andy Warhol, Pier Paolo Pasolini, Philippe Van Meerbeeck et de quelques anonymes.
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Place à la liberté de penser tout et son contraire. Avec mai 68 comme point de repère
*** 50 ans pour 50 réflexions/témoignages/opinions

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LIRE l’Avant-propos de ce livre: 

“Sous les pavés, la plage”, “Il est interdit d’interdire”, “CRS=SS”, “Jouissez sans entrave”: Mai 68 a vu les prémices du plus grand mouvement social du siècle passé. Mai 68, c’était un mouvement de contestation sociale et politique mais aussi un refus de la société de consommation, même si l’expression “société de contestation” n’est apparue qu’après Mai 68, sous la plume du philosophe Jean Baudrillard.

#bigdata #BalanceTonPorc #RGPD #DeleteFacebook: Mai 2018 voit la réponse de l’Europe aux GAFA[1] et aux BATX : la mise en application du “Règlement Général de la Protection des Données” personnelles,  le RGPD qui restreint la façon dont les données personnelles sont collectées et traitées.

Quel contraste !

50 ans après mai 68, que reste-t-il de notre vie privée ? Le florilège d’opinions/réflexions/récits/témoignages/souvenirs recueillis dans cet ouvrage collectif forme les prémisses d’une grande fête intellectuelle, dont le lecteur/la lectrice jouira à loisir, au fur et à mesure des pages qu’il/elle feuillettera. Chaque auteur a essayé de mettre en forme l’émotion/la réflexion qui le traverse à l’idée que 50 ans après mai 68, on puisse être plus ou moins libre/épris de liberté et le partager à travers l’expérience du langage.

Témoignages / sources d’inspiration pour développer nos conversations humaines

Ecrire, c’est parler sans être interrompu”. Un des nombreux slogans de mai 68 trouve avec ce mix de paroles d’anciens combattants et de résistants d’aujourd’hui, un plateau où viennent s’exprimer librement 50 invités. Et la démarche est plus artistique que littéraire: cet ouvrage collectif surprend le lecteur à la manière d’un feu d’artifice coloré, de cinquante écrits bigarrés, faciles à lire car rédigés dans un langage authentique et abordable par chacun.  Parfois surprenants de sensibilité, souvent finement observés, toujours sincères, ces 50 contributions essaient, de par leur juxtaposition, d’être une partie de mémoire des révolutions passées tout en essayant de comprendre les manifestations de la décennie.

Voyeurs

Voilà aussi pourquoi les textes feront voguer loin de certains débats contemporains, qui n’engendrent que frustration en n’opposant que des idéologies, des blocs que rien ne semble pouvoir réconcilier, des assertions contre des slogans. Dans ce type de conflits (par exemple concernant les suites des agissements des Weinstein et autres déviants sexuels abusant de leur pouvoir), chaque camp se tient à distance, protégé par son chef de file et ses éléments de langage. Entre les deux, il y a pourtant un boulevard où certains d’entre nous s’avancent d’un pas prudent, guettés par d’innombrables snipers/lurkers. Pour ces 2,5 milliards de voyeurs sur Facebook et Twitter, l’idéal est de se taire. Ne pas prendre position, laisser filer en attendant que ça se tasse… ou ça se casse. Car parmi ces voyeurs, il y a inévitablement quelques lâches réactionnaires, parfois cachés derrière un pseudo, en embuscade.

Dans ce recueil de réflexions, nous osons développer une pensée complexe, hésitante, contradictoire (un coup à gauche, un coup à droite, un coup perdu). Spécialement pour vous, tant que c’est encore possible… “On peut parler de tout, mais pas avec n’importe qui” disait feu Pierre Desproges, un des plus grands éveilleurs de conscience de l’époque de ceux qui étaient jeunes en mai 68. Ici, on est libre de reconnaître aux femmes l’absolue légitimité de leur combat (féministe ?) et, en même temps, d’être compréhensif vis-à-vis des hommes qu’il afflige. Ici, le lecteur et la lectrice ne sont pas OBLIGES de céder aux injonctions des femmes, pas plus que de se sentir OBLIGES de s’enrôler dans la compagnie des hommes.

Merci aux 50 libres auteurs (2) qui vous invitent ici à partager leurs réflexions. Merci à ceux et celles qui croient encore que l’utopie peut se réaliser, via des modes de résistance culturelle joyeux qui donnent une dimension ludique à la militance… #oupas.

www.SergeDielens.com

Marginal sécant / slasheur connectiviste / manager e-Réputation @ EdgeCommunication.be

Place à la liberté de penser tout et son contraire.

Avec mai 68 comme point de repère.

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[1] Google, Amazon, Facebook, Apple, et du côté chinois Baidu, Alibaba, Tencent, Xiaomi …

(2) Comment ces auteurs se sont-ils/elles retrouvés ici ? Choix arbitraire mais élégant. “Parce que c’était eux/elles, parce que c’était moi”, pour paraphraser Montaigne et son amitié mythique pour Etienne de La Boétie, auteur à 17 ans du “Discours de la servitude volontaire”, ouvrage majeur sur le thème de la Liberté, sur lequel nous nous arrêterons également dans cet ouvrage.

 

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